Amtliche Verteidigung im Jungendstrafverfahren
Das Bundesgericht hat ein BGer 6B_532/2011 vom 29.09.2011 entschieden, dass die Vorschriften über die notwendige bzw. die amtliche Verteidigung nach Art. 24f. JStPO auch im Vollzug zur Anwendung kommen, und zwar auch dann, wenn der Betroffene mittlerweile erwachsen ist. Im vorliegenden Fall ging es um ein Verfahren über die bedingte Entlassung nach Art. 28 JStG. An der Anwendung der Vorschriften über die amtliche Verteidigung ändert nichts, dass die Frage nach der bedingten Entlassung nach Art. 28 Abs. 4 JStG nach einem abgewiesenen Gesuch von Amts wegen halbjährlich zu prüfen ist:
Au vu du parcours du recourant et de son manque de formation, on ne saurait considérer qu’il est à même de défendre personnellement ses intérêts dans une procédure de libération conditionnelle. Que l’autorité d’exécution doive examiner d’office la possibilité d’accorder la libération conditionnelle (art. 28 al. 2 DPMin) et qu’en cas de refus, elle doive réexaminer au moins une fois tous les six mois cette question (art. 28 al. 4 DPMin) n’impliquent pas d’appréhender le droit à un défenseur de manière plus souple. Les conditions pour admettre une défense obligatoire au sens de l’art. 24 let. b PPMin sont réunies. Le recourant n’ayant aucune ressource financière, un défenseur d’office aurait dû lui être désigné (art. 25 al. 1 let. c PPMin) (E. 2.3).