Anspruch auf Intimbesuche im Gefängnis?
Art. 84 StGB regelt die Beziehungen von Strafgefangenen zur Aussenwelt. Gestützt darauf und auf den Anspruch auf menschenwürdigen Vollzug (Art. 74 StGB) beantragte ein Gefangener Intimbesuche, die ihm die zuständige Behörde mangels geeigneter Räumlichkeiten verweigerte. Auch das Bundesgericht hilft dem Beschwerdeführer nicht, heisst aber immerhin dessen Anspruch auf unentgeltliche Rechtspflege gut (BGE 7B_471/2023 vom 03.01.2024; Publikation in der AS vorgesehen).
Die Begründung wundert mich, zumal sie auf die Qualität der Beziehung abstellt:
Si le Tribunal fédéral n’a jamais eu à se pencher sur un cas ayant spécifiquement trait aux visites intimes, il ressort des considérations ci-avant que le cercle de personnes pouvant prétendre à des visites “ordinaires” est restreint. Il doit, a fortiori, en aller ainsi s’agissant des visites conjugales ou intimes, qui, par essence, sont moins fréquentes, plus difficiles à organiser, ne serait-ce qu’en termes de locaux, et ne peuvent pas être surveillées, au contraire des visites dites classiques (art. 84 al. 2 CP). Il est d’ailleurs communément admis par la doctrine que si de telles rencontres ne sauraient se limiter aux seuls conjoints, elles ne devraient pas pouvoir s’étendre par exemple à des personnes telles que les travailleurs du sexe, puisqu’elles visent avant tout à entretenir des relations solides et durables (E. 3.2.5)