Einspracherückzugsfiktion
Dass das Strafbefehlsverfahren bereits an sich auf rechtsstaatliche Bedenken stösst, reicht dem Gesetzgeber und der Rechtsprechung nicht. Sie bauen zusätzliche Stolpersteine für diejenigen ein, die sich mit oder ohne Grund gegen einen Strafbefehl wehren wollen. Nach Art. 355 Abs. 2 StPO gilt die Einsprache zurückgezogen, wenn eine Einsprache erhebende Person trotz Vorladung einer Einvernahme unentschuldigt fernbleibt. Bleibt sie der Hauptverhandlung unentschuldigt fern und lässt sich auch nicht vertreten, gilt die Einsprache ebenfalls als zurückgezogen (Art. 356 Abs. 4 StPO).
In einem vom Bundesgericht zu beurteilenden Fall ist der Beschuldigte nicht zur Hauptverhandlung erschienen, wohl aber sein Anwalt. Trotzdem verfügte der Richter den Rückzug, und dies gemäss Bundesgericht zu Recht (BGer 6B_592/2012 vom 11.02.2013). Die Anwesenheit des Anwalts, der die Absenz seines Klienten sogar noch zu entschuldigen versuchte, nützte nichts:
Contrairement à ce que semble prétendre le recourant, le fait que son avocat était présent à l’audience pour le représenter ne le dispensait pas de fournir un juste motif à sa non-comparution. En effet, le tribunal de district avait exigé sa comparution personnelle en mentionnant expressément dans le mandat de comparution qui lui avait été adressé que sa présence était obligatoire et spécifiait les conséquences en cas d’absence par la reproduction du texte de l’art. 356 al. 4 CPP. Le recourant devait ainsi présenter de justes motifs à son absence. La cour cantonale a exposé en détail pour quelles raisons les motifs du recourant n’étaient pas justifiés. Son raisonnement ne prête pas le flanc à la critique et il peut y être renvoyé (cf. art. 109 al. 3 LTF). Au demeurant, le recourant ne formule aucune critique recevable à cet égard. Le tribunal de district ayant exigé la présence du recourant à l’audience du 17 janvier 2012 et faute de motifs justifiés à son absence, la cour cantonale pouvait, sans violation du droit fédéral, retenir que l’opposition du recourant était retirée. Mal fondé, le grief doit être rejeté (E. 3.3).