Genehmigungsverfahren bei Zufallsfunden
Bei der Telefonüberwachung ist die Verwendung von Zufallsfunden nach Art. 278 Abs. 1 StPO genehmigungspflichtig. Art. 274 StPO umschreibt das Genehmigungsverfahren, wobei die Frist von 24 Stunden lediglich Ordnungsfrist sein soll.
Bei der Zufallsfundgenehmigung ist offenbar nur massgebend, dass die Verwendung erst nach der Genehmigung erfolgt (BGE 1B_274/2015 vom 10.11.2015, Publikation in der AS vorgesehen):
Cependant, la situation au sens de l’art. 278 CPP se distingue de celle relative à la mise en oeuvre initiale de la surveillance puisque les écoutes téléphoniques ont déjà eu lieu. Seule est donc litigieuse la question de l’exploitation des découvertes fortuites. Dans la mesure où celles-ci n’ont pas été utilisées préalablement à l’autorisation du 8 janvier 2015 (…), nul reproche ne peut être fait au Procureur. Ce dernier n’a ainsi ouvert une instruction formellement que le 14 janvier 2015 et donné mandat d’enquête à la police le jour suivant. Par conséquent, le Juge unique ne viole pas le droit fédéral en retenant que la demande du Ministère public est intervenue en temps utile et ce grief doit être rejeté (E. 3.2).
Dass auch ein Begünstigungsverdacht (Art 305 StGB) der sich bloss auf eine Übertretung bezieht, genehmigungsfähig ist, hat das Bundesgericht ebenfalls im Sinne der Strafverfolger entschieden. Da warte ich aber lieber auf die deutsche Übersetzung.