Novenrecht: Bundesgericht c. Bundesrichter?

In BGer 1B_768/2012 vom 15.01.2013 stellt sich das Bundesgericht gegen die veröffentliche Auffassung eines Richterkollegen, der sein Amt eben erst angetreten hat. Nach dem zitierten Entscheid sind im Beschwerdeverfahren Noven zulässig. Der nicht ganz unwesentliche Entscheid erging in Dreierbesetzung und ist nicht zur Publikation vorgesehen.

Il découle de ce qui précède que le code de procédure pénale a instauré de manière générale des voies de recours permettant à l’autorité cantonale de deuxième instance de disposer d’un plein pouvoir d’examen. Le législateur a renoncé à introduire un régime restrictif en matière d’allégations et de preuves nouvelles, sauf dans le cas très particulier de l’art. 398 al. 4 CPP. Par conséquent, avec la majorité de la doctrine, il faut admettre que le recourant peut produire devant l’instance de recours des faits et des moyens de preuve nouveaux (…). Cette conclusion s’impose d’autant plus en l’espèce, s’agissant du contrôle de la détention (art. 5 al. 2 CPP) [E. 2.1].

Ich gestehe auch als Verteidiger, dass mir dogmatisch die verworfene Lehrmeinung als überzeugender erscheint.