Weltrechtsprinzip?
Um beim Betrug eine schweizerische Strafhoheit zu begründen, reicht es gemäss Bundesgericht, dass die ertrogenen Vermögenswerte durch das Opfer von einem Konto einer Bank mit Sitz in der Schweiz abdisponiert wurden (BGer 6B_905/2019 vom 18.09.2019), denn der Betrugstatbestand sei ein kupiertes Erfolgsdelikt.
Das Bundesgericht verpflichtet damit die Strafverfolgungsbehörden des Kantons Genf, auf eine Strafanzeige einzutreten:
Dès lors que le siège de la banque auprès de laquelle le recourant était titulaire du compte bancaire débité pour acquérir les billets de football se trouve à D., le résultat d’une escroquerie – telle que dénoncée par le recourant -, soit le dommage de l’intéressé, serait bien localisable en Suisse. Les autorités suisses sont donc a priori compétentes pour conduire une instruction s’agissant de cette infraction (cf. pour une situation similaire l’arrêt 6B_1335/2018 précité consid. 4.5.2) [E. 2.3].
Viel Erfolg mit der Untersuchung!